JACK KIRBY, LES ETERNELS ET LES ANCIENS ASTRONAUTES

Jack Kirby est, et restera, un dessinateur atypique et nous verrons quel lien il peut bien avoir avec l’ufologie.

Né le 28 aout 1917, sous le nom de Jacob Kurtzberg, il grandira dans les bas-fonds de New-York où seul le dessin lui permettra de s’évader. Très tôt, il va vendre ses services auprès d’éditeurs de l’époque (strips dans les journaux, dessin animé de Popeye) mais la reconnaissance mettre un peu de temps à arriver. La rencontre du scénariste Joe Simon va lui permettre de cocréer de nombreux personnages, notamment au sein de la firme Timely Comics, dont le plus connu sera Captain America (publié en décembre 1940). Ensuite, chez National Comics, il travaillera sur d’autres comics de guerre, jusqu’à servir lui-même sous les drapeaux. Il débarquera en Normandie le 16 juin 1944.

Après la guerre, Jack Kirby travaille pour différents éditeurs, sur des styles différents (policier, romance, science-fiction, humour) avant de travailler sur des séries de super-héros, d’abord chez DC comics, puis chez Atlas Comics, anciennement Timely Comics, qui prendra ensuite le nom de Marvel. Là, avec le scénariste et dialoguiste Stan Lee, il va cocréer de nombreuses séries de super-héros : Fantastic Four, Hulk, Thor (un dieu nordique), X-Men, Avengers, la Panthère Noire, le Surfeur d’Argent, etc., et fera revenir Captain America dans ce nouvel univers.

Jack Kirby âgé.

A la suite d’une brouille avec Stan Lee, devenu l’éditeur en chef de Marvel, Jack Kirby ira retravailler chez DC Comics, créant notamment des séries comme The New Gods (les nouveaux dieux, dans l’univers du Quatrième monde), une histoire de dieux d’un autre univers, ainsi que celle de The Demon. Il reviendra chez Marvel en 1975 pour reprendre Captain America, dessiner une adaptation de 2001, l’odyssée de l’espace, dessiner des couvertures pour la bédé dérivée de la série télévisée Les Envahisseurs (The Invaders) et créer une nouvelle série : Les Éternels.

Couverture originale du comic-book The Eternals (les Éternels), lors de sa première parution en juillet 1976 (droits Disney/Panini comics France).

C’est cette dernière qui nous intéresse ici.

Dans toutes ses séries, Jack Kirby dessine de nombreux vaisseaux spatiaux et de nombreuses races extraterrestres, utilise des idées de son temps comme les OVNIs, le triangle des Bermudes, le visage de Mars, les enlèvements par des extraterrestres, etc. Rien d’extraordinaire dans le secteur de l’imaginaire, donc. Toutefois, avec la création des Éternels, Jack Kirby s’inspire d’un livre d’un jeune écrivain et globe-trotter suisse allemand : un certain Erich von Daniken.

Erich von Däniken jeune devant plusieurs de ses livres.

Né le 14 avril 1935 en Suisse, Erich von Daniken a 33 ans lorsque parait, en 1968, son premier ouvrage dont le titre anglais est Chariots of the Gods, Unsolved Mysteries of the Past (traduit en français sous le titre Présence des extraterrestres, en 1969). Ancien hôtelier, seulement diplômé du secondaire, Erich von Daniken se passionne pour le sujet extraterrestre et pour les civilisations anciennes pour lesquelles il établit un lien avec la venue d’êtres descendus du ciel. En fait, plus exactement, il a bien lu des ouvrages antérieurs comme ceux de Robert Charroux en France ou George Hunt Williamson aux Etats-Unis (cf. article sur Williamson sur ce site) et s’en est inspiré. Sa popularité ayant malheureusement éclipsé celle de ses prédécesseurs…

Erich von Daniken va mettre en relief dans ses livres un certain nombre de constructions terrestres (pyramides, lignes de Nazca, etc.) insolites qu’il attribue à des visiteurs venus d’ailleurs car, pour lui, à cette époque, l’être humain ne disposait pas de telles connaissances. Il met aussi en avant un certain nombre d’artefacts archéologiques sortant de l’ordinaire (Ooparts) et qu’il attribue à une origine extraterrestre : bijoux péruviens en forme d’avions, vimanas indiens, pile de Bagdad, dalle de Palenque, etc.). De même, met-il en avant les statues anciennes représentant des « dieux » anthropomorphes ou zoomorphes, dont les décorations semblent représenter des astronautes.

Or, dans la série des Eternels, Jack Kirby va adopter l’idée posée par le premier livre de von Daniken. Sur la couverture du deuxième numéro de la série de comic-book, Kirby parle du « retour des dieux » (« the gods are coming back). Et un bandeau de texte sur la couverture mentionne « More fantastic than Chariots of the Gods » (plus fantastique que Chariots of the Gods/Présence des extraterrestres). L’allusion au livre de von Daniken est ici très claire !

Et, si cela ne suffisait pas, Jack Kirby va faire figurer ces quelques lignes en introduction du numéro 1 de la série :

« L’homme est-il seul dans l’univers ? Les mythes du monde entier se rapportent à de mystérieux visiteurs venus des étoiles. Des entités aux immenses pouvoirs seraient venues sur Terre…et reparties ! Qui étaient-elles ? Que cherchaient-elles ici-bas ? Où s’en sont-elles allées ? Toutes ces questions forment l’arrière-plan de notre nouvelle saga…

Les réponses sont là… Toutes proches ! »

Le premier épisode débute par la découverte du professeur Daniel Damian et de sa fille, Margo, accompagnés par leur guide, le mystérieux Ike Harris. Celui-ci les fait entrer dans un temple secret des Andes où ils découvrent des statues de dieux antiques ressemblant à des astronautes descendant de leurs vaisseaux. Il leur explique que les dieux sont venus sur Terre à l’aube des temps et qu’ils ont créé trois espèces à partir du singe : les Humains, les Déviants (espèce monstrueuse instable génétiquement) et les Éternels (immortels dotés de pouvoirs). Dans notre histoire, les Déviants (créateurs de la Lémurie) ont asservi les Humains jusqu’au retour des Dieux (les Célestes) qui détruisirent l’humanité. Mais un dieu en secourut une partie à bord d’une arche : Ikaris (qui donne d’ailleurs son nom au magazine éponyme !), qui n’est autre que… Ike Harris.

Statues d’un dieu dans son « chariot » (droits Disney/Panini Comics France).
Statues de dieux descendant sur terre (droits Disney/Panini Comics France).

Le fameux « retour des dieux » proclamé par certains est celui des Célestes, immenses entités cosmiques qui viennent juger l’humanité actuelle en ses trois composantes : Humains, Déviants et Éternels. Si nous analysons les noms des Éternels utilisés, certains d’entre eux portent des noms qui ont inspiré la mythologie gréco-romaine : Ikaris pour Icare, Makkari pour Mercure, Thena pour Athéna, Zuras pour Zeus, Valkin pour Vulcain, Sersi pour Circé, etc.

L’histoire des Éternels est celle de personnages qui ont façonné les mythes et légendes de notre histoire. Ainsi, dans l’épisode 3, le général des Déviants, Kro, se laisse pousser des cornes sur le front afin de mieux impressionner les Humains. Kro prononce alors ces paroles : « De nos jours encore, cette image ronge leur esprit tel un virus ! ». Ce qu’il poursuit dans l’épisode 4, en allant plus loin : « Quant à nous, nous montrerons à ces humains les mêmes terreurs que connurent autrefois leurs ancêtres. Depuis les guerres antiques, le mythe du Diable s’est répandu parmi les hommes… Et de nos jours encore ne cesse de les tourmenter. Nous allons donner à la légende l’illusion de vérité pour ces chétives créatures. »

Dans le même épisode, un Déviant mutant affecte la forme d’un dragon lors de l’attaque sur New-York. De même, Sersi avouera à Margo Damian qu’elle est la Circé des mythes grecs ; celle qui transformait les hommes en cochons (dans l’Odyssée, d’un certain Ulysse…). Et l’Éternel Ajak (cf. Ajax, dans la guerre de Troie) était surnommé par les Incas Tecumotzin : « le seigneur qui vole ».

L’éternelle Sersi se révèle être…la Circé de la légende (droits Disney/Panini Comics France).

Les dieux vivaient parmi les hommes et ont laissé des traces dans l’imaginaire collectif ; traces devenues mythes et légendes. Mais les dieux sont encore présents parmi nous puisque Ikaris guide le professeur Damian vers le temple secret des Andes, Sersi vit à New-York, l’Éternel Kingo Sunen joue les acteurs dans des films de samouraïs, etc.

Dans l’épisode 7, il sera question de la collecte par deux Célestes de « semences vitales ». Gammenon, l’un des Célestes, a recueilli des échantillons de la faune et de la flore locale. Comme le déclarera le Dr Damian dans cet épisode : « Ces Célestes recueillent des échantillons de toutes sortes…y compris humains ! Cette idée est des plus humiliantes, savez-vous. »

Tout cela n’est pas sans nous rappeler ce que décrivaient les témoins d’observations de rencontres du 3è type pendant les années 1950 et 1960 : des humanoïdes, de tailles et de faciès différents, cueillant des plantes ou emmenant une poule ou un autre animal. Ces êtres semblant fascinés par la richesse biologique du biotope terrestre.

Ce même chapitre nous décrit aussi l’intervention des Célestes à différentes époques, avec des « cohortes » différentes. La première cohorte est venue faire des expériences sur les singes ; les trois races en sont nées. « La deuxième cohorte était une expédition disciplinaire. Bien des civilisations du lointain passé ont péri, forçant l’humanité à s’orienter vers d’autres objectifs. La troisième cohorte était chargée d’inspection et de développement de l’agriculture. La civilisation inca l’a reçue comme s’il s’agissait de dieux. Les véhicules des Célestes semaient sur toute la planète terreur et superstition ».

Les 3 races issues des manipulations génétiques des Célestes, de gauche à droite, les Déviants, les Humains et les Eternels (droits Disney/Panini Comics France).

Jack Kirby nous parle bien ici de dieux « vengeurs » (que l’on se souvienne du Yahweh biblique, de la destruction de Sodome et Gomorrhe) et de dieux « civilisateurs » : de nombreux « dieux » de nos mythologies apportent l’agriculture, le blé, le pain.

Dans l’épisode 8, le submersible du général des Déviants, Kro, survole les ruines de l’ancienne Lémurie ; ses semblables vivent dans la nouvelle Lémurie, non loin des ruines de l’ancienne, détruite par les Célestes de la deuxième cohorte. Or, l’une des images montre que le submersible passe au-dessus d’un visage de pierre couché à plat sur le fond de l’océan. Ce visage de pierre n’est pas sans rappeler le fameux « visage » de la plaine martienne de Cydonia. Survolé par la sonde Viking 1, le 25 juillet 1976, l’image du fameux « visage martien » a inspiré Jack Kirby car l’épisode 8 dans lequel apparait ce visage de pierre date de février 1977.

Visage de pierre sous-marin issu de la civilisation de la Lémurie (droits Disney/Panini Comics France).

Mais il y a toutefois plus fort encore à propos de ce visage.

Dans un comic-book intitulé Race for the Moon (la course vers la Lune), sur un scénario de Joe Simon et Jack Kirby au dessin, il est question d’astronautes explorant le système solaire. Dans le numéro 2 de ce comic-book, l’un des astronautes est sur Mars et il va voir des scènes de guerre entre les Martiens et un autre peuple localisé sur une planète située entre les orbites de Mars et de Jupiter. Cette planète, détruite par les Martiens a donné lieu à la ceinture d’astéroïdes à cet endroit. Mais, sur la surface de Mars, les astronautes rencontrent un visage de pierre. Or, ce visage apparaissant dans le numéro 2 intitulé The face on Mars (le visage sur Mars) est daté…de septembre 1958 ! Soit 18 ans avant sa découverte sur Mars (si tant est qu’il s’agisse bien d’un visage) ! Voilà une extraordinaire intuition que la seule imagination n’explique pas forcément. Jack Kirby ayant l’habitude d’intervenir dans les scenarii des histoires qu’il dessinait, il est fort probable que l’idée vienne de lui. Il faudra un jour rouvrir le dossier des intuitions et idées nées dans l’esprit des romanciers, scénaristes et autres créatifs, bien avant que ces idées ne trouvent leur concrétisation…

Le « visage sur Mars » dans un comic-book de Jack Kirby datant de…1958! A droite, image du visage de Cydonia, sur Mars, pris lors du premier passage de Viking 1, le 25 juillet 1976. Un nouveau passage donnera une image différente de « visage »… (droits Disney/Panini Comics France).

Pour rester dans les artefacts et constructions, Jack Kirby utilise plusieurs fois les édifices en forme de pyramide ; que ce soit la prison où est enfermé un Éternel nommé « le réprouvé » ou bien la « pyramide des vents » que l’on retrouve à la fin de la série.

Dans l’épisode 13, il est aussi question de trois astronautes partis en mission dans l’espace mais interceptés par les Déviants et le Réprouvé. Ce dernier va confier son vaisseau aux astronautes pendant que lui se sacrifiera face au vaisseau des Célestes dans l’explosion de la bombe envoyée par les Déviants. Or, le vaisseau du Réprouvé est de type discoïdal (en clair : il ressemble à un OVNI tel que décrit par de nombreux témoins de l’époque !) et se pose sur une base américaine inconnue, dans le désert Mojave, en Californie. Voilà qui n’est pas sans rappeler la Zone 51, officialisée seulement en 2016, et située dans le Nevada, état situé un peu au-dessus de la Californie.

Un véhicule des Éternels atterrit sur une base secrète de la NASA aux États-Unis (droits Disney/Panini Comics France).

Enfin, on pourrait aussi signaler le symbole apparaissant sur le front d’Ikaris et permettant à l’Éternel Druig d’identifier l’endroit où est enfermé une arme capable de tuer les Célestes. Après avoir subi l’interrogatoire du « neuro-monstre », un symbole apparait sur son front et désigne la « pyramide des vents ». Or, ce symbole reprend l’un des symboles alchimiques concernant les quatre éléments et correspond à l’air. Jack Kirby avait donc aussi une connaissance des symboles basiques liés à l’alchimie…

…à comparer avec le symbole alchimique de l’élément Air.

Ici, l’histoire générale de la série des Éternels, première version (car il y en aura d’autres après le départ de Kirby), compte 19 épisodes et un annuel. Les éléments forts de la série sont concentrés dans les dix premiers épisodes, ensuite, l’idée initiale se dilue un peu. Rappelons que Jack Kirby était à la fois scénariste et dessinateur de cette série et qu’il lui fut demandé, dans la deuxième année du comic-book, de faire intervenir des personnages liés à l’univers des comics Marvel. Ce qui allait aboutir à une brouille avec l’éditeur en chef (Stan Lee), puis à son départ de Marvel.

Cette version des Éternels met en avant un thème qui est celui de l’évhémérisme et, à notre époque, du « néo-évhémérisme ».

Évhémère était un mythographe grec des IIIè et IVè siècle avant notre ère. Son idée principale est la suivante : « Lorsque les hommes n’étaient pas encore civilisés, ceux qui l’emportaient assez sur les autres en force et en intelligence pour contraindre tout le monde à faire ce qu’ils ordonnaient, désirant jouir d’une plus grande admiration et obtenir plus de respect, s’attribuèrent faussement une puissance surhumaine et divine, ce qui les fit considérer par la foule comme des dieux. »

Dans les années 1950 et 1960 est venu se greffer sur cette idée le néo-évhémérisme : ce ne sont pas des êtres humains plus forts et intelligents que la moyenne qui furent considérés comme des dieux, mais des êtres venus d’ailleurs. En clair, des extraterrestres, par leurs technologies, leurs prouesses, leur apparence, etc., furent déifiés par une population terrestre primitive. Ce qui rejoint la 3è loi énoncée par Arthur C. Clarke, romancier de science-fiction lui aussi très inspiré : « Toute technologie suffisamment avancée est indiscernable de la magie. »

Par conséquent, Erich von Daniken (et bien d’autres avant lui), ainsi que Jack Kirby à sa suite, font donc du néo-évhémérisme en faisant intervenir des extraterrestres dans notre histoire, créateur de l’humanité, et déifié par la suite, alors que le souvenir se perdait dans les brumes des légendes et des mythes…

***

C’est dans le courrier des lecteurs du numéro un de ce comic-book que Jack Kirby expliquera sa démarche :

« Si j’en crois mes souvenirs des premiers films de jungle, rien n’était plus terrifiant pour les indigènes que la soudaine apparition du héros de l’histoire, dont le « grand oiseau blanc » se crashait inévitablement au milieu du village.

On faisait de lui un dieu, ça va de soi. Et si cette histoire était authentique, elle alimenterait aujourd’hui les légendes. Et pourtant… combien de fois cela s’est-il produit dans notre passé ? Combien de soi-disant dieux sont tombés sur cette pauvre planète Terre ? Combien ont inspiré les grands mythes qui, non content de poser les bases des religions humaines, ont légué à l’homme un formidable mystère que rien ne peut dissiper ?

Les découvertes d’artefacts se multiplient sur la Terre. Simultanément, les observations d’ovnis se développent à l’échelle mondiale. L’humanité s’efforce de toute sa mémoire collective de se faire une idée du lointain passé – afin de découvrir la clé des incidents inexplicables de notre actualité. […]

Que s’est-il passé en ces jours lointains où l’humanité luttait pour acquérir le statut de peuple civilisé ? Quel est le vrai sens des mythes communs à tant d’ethnies diverses. Des êtres de nature alien ont-ils vraiment atterri parmi nous pour influencer nos vies à ce jour ? … »

Cet extrait nous montre bien le caractère néo-évhémériste fait entre, d’une part, le phénomène OVNI et, d’autre part, la trace laissée par les êtres derrière les OVNIs qui ont laissé une trace dans nos mythes et nos religions. Jack Kirby étant juif, il prenait d’ailleurs un risque en disant cela… Notons aussi dans cet extrait la mention de « mythes communs » car c’est exactement ce que nous retrouvons tout autour du globe, pour peu que l’on creuse les mythes, mythologies, légendes et textes sacrés.

***

Jack Kirby quittera Marvel en janvier 1978, pour des questions de droit d’auteur, pour se consacrer à l’animation, ainsi qu’à des projets personnels chez des éditeurs indépendants. Il meurt chez lui, en Californie, le 6 février 1994 d’une crise cardiaque, à l’âge de 76 ans.

Jack Kirby laisse en héritage de nombreuses œuvres dessinées et projets liés à l’imaginaire et, aux cotés de Stan Lee, Joe Simon et quelques autres grands artistes de l’époque, fait figure de pionniers des comics de super-héros aux États-Unis. Ce n’est pas pour rien s’il fut surnommé « The King » (le roi). Aussi, à l’heure où Marvel Studio exploite les œuvres de ses comics, portant à l’écran Captain America, la Panthère Noire (Black Panther), les Quatre Fantastiques (Fantastic Four…avec plus ou moins de réussite !), Hulk, les Avengers et autres personnages sur lesquels il a créé des concepts, les Éternels sera un film Marvel Studio dont la sortie (repoussée !) est fixée à Novembre 2021.

La pré-affiche du film à venir (droits Disney/Marvel Studio).

Reste à savoir si le film sera fidèle à la création de Jack Kirby et s’il gardera les liens avec les Anciens Astronautes, tels qu’il les a décrits dans sa série originelle…

***

Bande-annonce : https://www.youtube.com/watch?v=zfhMlsZW7hg

***

Stéphane Royer

***

Sources :

http://alienexplorations.blogspot.com/1978/05/jack-kirby-and-face-on-mars.html

https://fr.wikipedia.org/wiki/Erich_von_D%C3%A4niken#Bibliographie

https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89vh%C3%A9m%C3%A8re

https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89vh%C3%A9m%C3%A9risme

https://fr.wikipedia.org/wiki/Trois_lois_de_Clarke

Étiquettes :

Aucune réponse

    Laisser un commentaire

    Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *