TINTIN ET LES EXTRATERRESTRES

Georges Rémy, dit Hergé, est le créateur du personnage mondialement connu de Tintin et des personnages qui gravitent autour (le chien Milou, le capitaine Haddock, le professeur Tryphon Tournesol, etc.).

Hergé entouré de ses albums.

Né le 22 mai 1907, il décèdera le 3 mars 1983 après avoir conté les aventures de son reporter au Petit XXè pendant 24 albums (incluant le tout premier, Tintin chez les Soviets, jusqu’à l’inédit non terminé Tintin et l’Alph’art). Par ailleurs, Hergé créera d’autres personnages tels Quick et Flupke ; Jo, Zette et Jocko, plus proche de l’univers des enfants. Tintin pouvant être lu, comme le promouvra le journal de Tintin, de « 7 à 77 ans »… Hergé dirigera un studio de dessin et il aura parmi ses collaborateurs Bob de Moor, son bras-droit, et Edgar P. Jacobs, le créateur de Blake et Mortimer.

Tous ceux qui ont lu des albums de Tintin savent que le personnage est un redresseur de torts, passionné par la justice et l’honnêteté ; aimant mener des enquêtes (et bien meilleur en la partie que les Dupont et Dupond !) … En tant que reporter, il voyage à travers le monde pour déjouer des gangs mafieux ou trafiquants de toutes sortes (opium, esclaves), dénonçant aussi le capitalisme à l’américaine ou l’oppression d’une culture par une autre. Il se lancera aussi dans des courses au trésor (le trésor de Rackham le Rouge, volé par l’ancêtre du capitaine Haddock au pirate) ou quête scientifique (le minerai venu de l’espace dans L’Île Mystérieuse, le vol vers la lune à bord d’une fusée) mais, par-dessus-tout, volera au secours de ses amis (Haddock, Tournesol, Tchang, la Castafiore, etc.)

C’est toutefois dans les années 1960 qu’Hergé se tourne vers des thèmes plus mystérieux, avec le Yéti (ou Migou), créature des neiges du Tibet, dans Tintin au Tibet (1960). Il se frottera aussi au thème des extraterrestres dans Vol 714 pour Sidney (1968), profondément influencé par la revue Planète et Le matin des magiciens, les deux écrits et/ou supervisés par Jacques Bergier et Louis Pauwels.

Résumons d’abord rapidement les événements pour ceux qui ne l’auraient pas lu ou ne s’en souviendraient pas :

Tintin, le capitaine Haddock et Tryphon Tournesol débarquent à l’aéroport de Djakarta afin de prendre une correspondance pour Sydney où ils doivent assister à un congrès d’astronautique, en tant que pionniers de la Lune (albums : Objectif Lune et On a marché sur la Lune). Reconnaissant l’un de leur amis, Szut (rencontré dans l’album Coke en stock), celui-ci, devenu pilote privé, leur présente son employeur : le milliardaire Laszlo Carreidas, concepteur d’avion (et dont Marcel Dassault servira de modèle à Hergé), se rendant lui aussi au congrès d’astronautique.

Il décide de les inviter à bord de son Carreidas 160, dernier-né des industries Carreidas mais, en cours de vol, l’avion est détourné par son secrétaire, Spalding, et les hommes qu’il a embauchés (le copilote et le radio). Atterrissant en catastrophe sur une petite île de l’océan indien, Tintin retrouve l’esprit machiavélique derrière l’enlèvement : son vieil ennemi Roberto Rastapopoulos. Son but : connaitre le numéro de compte de Carreidas, grâce au sérum de vérité du Dr Krossprell, et s’en emparer.

Bien sûr, les choses ne se passeront pas bien et Tintin et ses amis se libèrent. Ils se cacheront dans les profondeurs de l’île grâce à une « voix » dans la tête de Tintin, puis de Haddock. Là, ils rencontreront un certain Mik Ezdanitoff, muni d’une antenne sur ses lunettes et prétendant être en contact avec des extraterrestres. C’est d’ailleurs grâce au vaisseau de ces derniers qu’ils pourront quitter l’île, hypnotisés afin de tout oublier.

Finalement, ils seront relâchés sur un canot pneumatique, occupé par la bande à Rastapopoulos, dont les membres sont kidnappés dans l’OVNI.

Lors d’une émission télévisée, Tintin et Haddock ne se souviennent pas de leur aventure, si ce n’est un rêve similaire fait de souterrains peuplés de statues et d’une intense chaleur… Tournesol, lui, aura retrouvé dans sa poche, un artefact dont la composition…n’est pas terrestre !

Dans cet album, nous trouvons plusieurs thématiques.

La première rencontrée par les protagonistes est celle de la « voix » entendue par Tintin. Une « voix » dont se gaussera le capitaine Haddock, comme à son habitude :

« Car les « voix » de Monsieur ont décrit cette statue à Monsieur, naturellement !… Est-ce que, par hasard, les « voix » de Monsieur lui ont également donné la raison de la chaleur qui règne dans ces caves ?… On se croirait au bain turc, ici ? »

Et, plus loin :

« Vos voix par-ci, vos voix par-là !… Ah ! non, j’en ai plein de dos de ces calembredaines !… La plaisanterie a assez duré, mille sabords !… Dites-moi comment vous connaissez l’existence de ce temple : voilà ce que je veux savoir, moi, tonnerre de tonnerre de Brest ! »

Toutefois, cette « voix » lui apportera des éléments concrets : comment échapper à leurs poursuivants ? La voix dans la tête de Tintin lui dira d’aller sous une pierre, où se trouve cachée une ouverture, et de descendre jusqu’à une statue de tête. Là, en appuyant sur l’œil droit, il ouvrira un passage souterrain qui le mènera en lieu sûr.

L’oeil déclenche l’ouverture vers le souterrain.

Cette voix se révèlera plus tard être la voix télépathique d’un certain Mik Ezdanitoff ; étrange individu dégarni, portant lunettes et petite antenne sur l’une des branches. Cet homme explique à Tintin et Haddock qu’il les a guidés jusqu’à lui par l’appareil qu’il porte sur la branche de ses lunettes.

« Eh bien ! c’est trransmetteurr de pensée… Ha ! ha ! je sais, télépathie est encore phénomène peu étudié parrr science… humaine, mais pourr autrre science, trransmission de pensée est chose courrante depuis longtemps. »

A la question de Tintin sur cette autre science, Mik Ezdanitoff répondra :

« Quelle autrre science ?… Mais science…heu…extraterrrestrre… »

A la question du capitaine Haddock qui se demande si lui est un extraterrestre, Mik Ezdanitoff lui répond qu’il est un être humain, comme eux, mais : « Seulement, moi initié je suis. C’est dirre, avec quelques autrres hommes, je serrs agent liaison entrre terrre et… heu….autrre planète… Mon rrôle, c’est tenirr extrraterrrestrres au courant activités humains dans tous domaines… Comprrenez-vous ?… Et je rrencontrre eux une ou deux fois parr année… ici, dans trrès vieux temple oublié parr hommes mais toujourrs connu parr…heu…par extrraterrrestrres qui viennent rrégulièrrement ici depuis millénairres… »

Mik Ezdanitoff est donc un agent d’autres intelligences venant sur notre planète depuis des millénaires et pratiquant avec eux la télépathie.

Existe-t-il un équivalent dans la vraie vie à ce Mik Ezdanitoff ou bien s’agit-il d’un personnage inventé ?

On penserait, bien sûr, en premier lieu aux contactés et abductés ayant été mis en contact avec d’autres intelligences, d’autres êtres venus d’ailleurs. Mais, Hergé a été un peu plus précis que ça.

Rencontre entre Tintin, Haddock et Mik Ezdanitoff.

Lorsqu’il se présente, en entendant son nom, Tintin lui dit : « Le célèbre Ezdanitoff de la revue « Comète » ? … » Ici, l’identité de cet homme mystérieux tombe et nous découvrons l’homme qui a inspiré Hergé pour ce nouveau personnage : Jacques Bergier. Comme le révèle l’accent d’Europe centrale d’Ezdanitoff (les « r » qui roulent…), Jacques Bergier était né en Ukraine sous le nom de Yakov Mikhaïlovitch Berger, fils de juifs russo-polonais. Il grandira en France, mènera des études pour devenir ingénieur chimiste, sera licencié ès lettres et francisera son nom en Jacques Bergier. Il se consacre à la chimie nucléaire (il codécouvre l’eau lourde, synthétise le polonium, etc.) et se passionnera pour l’alchimie ; certains affirmant même qu’il aurait rencontré le célèbre Fulcanelli en juin 1937.

Jacques Bergier est bien Mik Ezdanitoff!

Pendant la Seconde Guerre Mondiale, il participe aux réseaux de renseignement, permettant notamment la destruction de la base de lancement des fusées V-2, à Pennemünde. Il sera arrêté, torturé par les Nazis et enfermé dans des camps de concentration, dont il réchappera de peu. Par la suite, son expérience et sa maitrise de 14 langues (dont…l’araméen !) l’amènera à travailler pour les services secrets.

Passionné de littérature, il écrira plusieurs livres sur l’espionnage, traduira les œuvres d’Howard Philip Lovecraft, alors inconnu en France, et fréquentera plusieurs auteurs dont Jean Bruce (créateur d’OSS 117), Ian Fleming (dont Bergier prétend être à l’origine du personnage de James Bond), Arthur C. Clarke, etc. Mais, c’est surtout pour Le matin des magiciens (1960), coécrit avec Louis Pauwels, que cet « amateur d’insolite et scribe des miracles », comme le présentait sa carte de visite, est plus connu. Dans ce best-seller de contre-culture de l’époque, de nombreux thèmes y sont traités (occultisme nazi, alchimie, civilisations disparues, extraterrestres dans l’histoire, etc.) amorçant le mouvement du « réalisme fantastique ».

Edition au Livre de Poche, avec une couverture bien dans le thème de cet album…

De ce livre, naitra notamment la revue Planète (cf. l’allusion de Tintin à la revue Comète lorsqu’il est présenté à Mik Rezdanitoff), dans laquelle de nombreux thèmes précurseurs sont développés (ufologie, parapsychologie, anciennes civilisations, médecines alternatives, etc.).

Illustration de couverture de la revue Planète.

Hergé a-t-il rencontré Jacques Bergier (ce dernier meurt en 1978 et Hergé en 1983) ? Ou bien, tout simplement, admirait-il le personnage et son œuvre ?

Une autre thématique, découlant aussi de Jacques Bergier, est celui des anciennes civilisations. Les monuments dessinés par Hergé figurent des dieux à tête de « cosmonautes », comme le dira le britannique Spalding, confronté à la tête fermant l’accès au souterrain : « On dirait… On dirait un cosmonaute avec son casque, son micro, ses écouteurs. »

Rastapopoulos, Allan et Spalding découvre la statue ressemblant à celle d’un « cosmonaute ».

Ici, nous sommes renvoyés à la « théorie des Anciens Astronautes », dont beaucoup d’auteurs ont parlé (George Hunt Williamson, Jimmy Guieu, Robert Charroux, Eric von Daniken, Guy Tarade, etc.). Théorie stipulant que des visiteurs venus d’ailleurs (autres planètes ?) sont venus sur Terre dans des temps anciens et qu’ils furent divinisés par les terriens primitifs (qui donnera naissance au terme de « néo-évhémérisme »). D’ailleurs, dans l’album, l’un des Sondonésiens, alliés de Rastapopoulos et Allan, dira : « Ce n’est pas ça, mister Allan… Mais on ne peut pas entrer dans ce souterrain !… C’est interdit, mister Allan !… Tu vois ce signe, là ?… C’est celui des dieux qui sont venus du ciel sur leurs chars de feu !… Si nous entrions, le châtiment serait terrible ! … »

Le « char de feu » stylisé à l’entrée de la grotte, à gauche du casque masquant l’entrée vers le souterrain.

Sur le mur, au-dessus de l’idole servant de porte, nous trouvons même un bas-relief représentant l’un de ces « chars de feu », présent aussi dans le souterrain et que désigne Mik Ezdanitoff. A ce moment, il reparlera des « chars de feu » :

« Il y a milliers d’années, hommes ont bati ce temple pourr adorrer dieux descendus du ciel sur charrs de feu. En rréalité, charrs étaient astrronefs comme celui-ci. Et dieux étaient… Mais vous avez vu statues : elles reprrésentent quoi, dirriez-vous ? »

Autre représentation d’un « char de feu » figurant dans le temple souterrain.

Une autre thématique présente dans l’album est celui du « missing time », ou temps manquant, présent dans de très nombreux cas de personnes ayant été en contact avec une intelligence venue d’ailleurs. Il s’agit de souvenirs qui ont été effacés de la mémoire consciente (et qui peuvent être parfois retrouvés sous hypnose). Est-ce à dire que, comme dans l’album, l’hypnose en est à l’origine ?

Mik Ezdanitoff, pour préserver le secret des contacts avec les extraterrestres, va donc soumettre Tintin et ceux qui le suivent à l’hypnose. Ils garderont le souvenir d’avoir été dans l’avion de Carreidas puis de s’être échoués en mer, puisqu’ils seront retrouvés dans le canot de sauvetage de l’avion. Leurs autres souvenirs leur ayant été retranchés.

Revenons à l’un des symboles présents à droite de la tête qui bascule pour masquer l’entrée vers le souterrain menant au cœur du lac, d’où le groupe sera enlevé. Ce symbole en forme de serpent (ou ligne ondulée) comporte une croix à l’un des bouts. Or, ce symbole ressemble au « signe de Malijai », encore appelé « serpent cruciforme ». C’est Guy Tarade qui le mentionne dans son livre OVNI : Terre, planète sous contrôle, sorti en 1979…donc bien après la sortie de l’album d’Hergé.

Après-guerre, une ferme des Alpes-de-Haute-Provence (entre le pic de Couar et celui de Cucuyon) se verra volée de menus objets sans valeur (fourchette, chaise, tabouret) alors que les bijoux et l’argent ne seront pas touchés. Cette ferme sera retrouvée avec ce symbole, que l’on retrouvera ensuite au début du mois de janvier 1971 à Malijai, dans la région de Dignes, matérialisé sur le bord des routes. Par la suite, la sphère d’influence dépassa le département pour arriver jusqu’à Nice et Cagnes-sur-Mer. Malgré une enquête des Renseignements Généraux, « l’opération Serpent n’amena aucun résultat. Voici ce qu’en dit plus loin Guy Tarade :

« Certains ésotéristes ont pensé qu’il s’agissait d’un message rédigé en langage universel abordable aux seuls initiés. Ce symbole a une certaine analogie avec le RU thaï, le Go Javanais, le na Japonais et une lettre que l’on trouve sur la stèle des sémites-moabites de Mesa. Notre ami Robert Charroux voyait dans ce signe la représentation d’un dessin figurant dans un livre intitulé Geheime Wissenschaften (« Sciences Secrètes »), Magische Werke (« Œuvres magiques ») de Honoriusvon Theban, transmis par Petrus von Apono. Ce symbole appartenait jadis à l’écriture secrète connue seulement des prêtres initiés et destinées aux sanctuaires et aux dieux. »

Comment Hergé pouvait-il connaitre ce symbole qui sera connu (et encore, des seuls spécialistes) en France qu’à partir de 1971 ? La dernière phrase de Guy Tarade concernant une écriture connue des prêtres initiés et destinée aux dieux ne manquent pas de susciter l’interrogation ?

Enfin, dernière thématique illustrée à merveille par le professeur Tournesol en fin d’album, celui de la preuve de cette aventure. Car, à part des rêves similaires, les protagonistes de cette aventure ont tout oublié. Par contre, Tryphon Tournesol retrouvera dans sa poche le mystérieux artefact trouvé dans la grotte souterraine, juste avant d’être embarqué dans la « soucoupe volante ».

« …Et la meilleure preuve de la réalité du phénomène, je l’ai obtenue en faisant analyser ce métal par le laboratoire de l’université de Djakarta. Eh bien ! l’avis des physico-chimistes est absolument formel : il s’agit là de cobalt à l’état natif, allié à un composé de ferro-nickel.

« Or, il n’y a pas de cobalt à l’état natif sur notre planète !… Je dis donc que cet objet est d’origine EXTRA-TERRESTRE. »

Il s’agit donc là d’une preuve physique, matérielle, telle qu’en recherche les ufologues du monde entier afin d’appuyer la solidité des cas d’observations, d’atterrissages ou d’enlèvements. Et ce n’est sans doute pas pour rien si un certain nombre de chercheurs ou d’ufologues à travers le monde travaillent sur cette piste. Ainsi, pourrons-nous citer les recherches d’Hal Puthoff, dans le cadre de l’Académie To The Stars, qui travaille à l’analyse isotopique de fragments d’OVNIs crashés (ou supposés comme tel). De même pour Jacques Vallée, dont les récents travaux sont aussi consacrés à l’analyse isotopique d’objets ou fragments récupérés à travers le monde (voir lien ci-dessous).

Plus curieux, cette « tige à boule » ressemble à un autre objet manufacturé que l’on retrouve dans la littérature ufologique. Dans son livre de 1954, Les soucoupes volantes viennent d’un autre monde, l’ufologue Jimmy Guieu mène une enquête sur un crash d’avion sur l’aéroport de Marignane, le 4 janvier 1953, laissant des débris métalliques, dont des baguettes surmontées de boules. Or, après qu’on lui eut confié l’une de ces tiges dotées de boules. L’analyse montrera qu’il s’agit de matériaux bien terrestres. Pour Jimmy Guieu, il s’agissait alors d’une opération de désinformation qui aurait pu porter ses fruits sans l’analyse préalable de la tige. Hergé connaissait-il cette information pour parler de l’artefact présenté par le professeur Tournesol ? Il aurait pu la puiser dans l’ouvrage sorti en 1954, et dont l’auteur reparle dans l’ouvrage suivant, sorti en 1956.

Pour conclure, l’on peut dire qu’Hergé était bien documenté pour la rédaction de cet album (comme pour les autres, d’ailleurs). Sans doute le fruit de lectures personnelles car Hergé s’intéressait à des thèmes liés à l’ésotérisme et la spiritualité. De plus, son collaborateur de longue date, Edgar P. Jacobs, utilisera aussi ces thèmes, plus longuement, dans les aventures de Blake et Mortimer…

Stéphane Royer

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Quelques sources pour aller plus loin :

https://www.tintin.com/fr/albums/vol-714-pour-sydney

https://fr.wikipedia.org/wiki/Herg%C3%A9

https://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques_Bergier

http://www.claudethomas.net/bergierenbd.htm

http://dossiersinexpliques.blogspirit.com/archive/2017/06/28/26-juin-2017-conference-de-jacques-vallee-paris-3093990.html (compte-rendu de Joslan F. Keller de la conférence donnée à Paris par Jacques Vallée, le 26-06-2017).

https://www.youtube.com/watch?v=R8B5RJyesX4 (conférence audio de Jacques Vallée du 26-06-2017).

Hergé : Vol 714 pour Sydney, Casterman (1968).

Jacques Bergier/Louis Pauwels : Le matin des magiciens, Gallimard (1960).

Jacques Bergier : Les extraterrestres dans l’histoire, J’ai Lu (1970).

Jacques Bergier/Georges H. Gallet : Le livre de l’inexplicable, J’ai Lu (1972)

Jacques Bergier/Georges H. Gallet : Le livre du mystère, J’ai Lu (1975).

Jacques Bergier/Georges H. Gallet : Le livre des Anciens Astronautes, J’ai Lu (1977).

Guy Tarade : OVNI : Terre, planète sous contrôle, Editions Alain Lefeuvre (1979).

Jimmy Guieu : Les soucoupes volantes viennent d’un autre monde, Fleuve Noir, 1954.

Jimmy Guieu : Black-out sur les soucoupes volantes, Fleuve Noir, 1956.

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