OVNIS ET VOLCANS

OVNIS ET 4 ELEMENTS – 1. Le feu

De nombreuses zones à travers le monde constituent ce que l’on appelle des « hot spots » ou « points chauds » d’observations d’OVNIs. Il s’agit d’endroits où nombre d’OVNIs sont signalés chaque année, avec une fréquence d’observation assez importante. Dans le cadre de ce nouveau cycle de conférence, nous allons étudier ceux-ci, en les alliant aux 4 éléments de la Tradition. Nous commencerons par l’élément feu, correspondant aux volcans.

Les volcans sont nombreux sur la surface du globe (et même sous les mers). Aujourd’hui, il y a environ 600 volcans qui sont connus sur les terres (et plus encore inconnus sous les océans) et qui sont sont à l’origine d’éruptions volcaniques. 50 à 70 volcans sont actifs chaque année et 1500 volcans connus ont été actifs au cours des 10000 dernières années.

Il faut savoir que les volcans sont surreprésentés le long de la « ceinture de feu du Pacifique », jalonnant de volcans actifs toute la façade ouest du continent américain (du sud jusqu’au nord), puis redescendant de la Russie jusqu’à l’Australie, en passant par le Japon. A noter que quelques volcans actifs sont aussi implantés le long des failles sismiques, parcourant notamment l’Atlantique ou la Méditerranée. Or, de nombreuses observations d’OVNIs ont eu lieu sur ou à proximité des volcans. Pourquoi tant d’observations près des volcans ?

Volcans sur la ceinture de feu du Pacifique.

Nous allons examiner plusieurs théories mais examinons d’abord les lieux les plus emblématiques en termes d’observation d’OVNIs à travers le monde.

Tout d’abord, il ne faut pas oublier que la première observation d’OVNI de l’ère moderne, la plus médiatique, eut lieu proche d’un volcan. En effet, le 24 juin 1947, l’homme d’affaire américain Kenneth Arnold observa une armada d’OVNIs aux couleurs métalliques au-dessus du mont Rainier. Or, le mont Rainier est un volcan…

Sur le continent américain, le Mexique est certainement l’un des hauts-lieux les plus représentatifs de la question. Plusieurs volcans mexicains sont situés non loin de Tenochtitlan et de la ville de Mexico. Le plus connu dans le monde ufologique est, sans conteste, le Popocatepetl.

En effet, deux caméras sont implantées autour de ce volcan et retransmettent les images en direct du volcan. L’observation géophysique a pour but de surveiller les éruptions volcaniques, comme c’est le cas de nombreux volcans à travers le monde. Or, bien souvent, ces images présentent des objets aux particularités inconnues ENTRER, SORTIR ou SURVOLER le Popocatepetl (5465 mètres) et ses frères mexicains (Iztaccihuatl, 5230 m, Colima, 3839 m, et le pic d’Orizaba, à 5675 m). De très nombreuses vidéos se trouvent aujourd’hui sur le web montrant des objets de formes différentes (souvent des boules ou des cylindres pour le Mexique) observés à proximité ou au-dessus de ce volcan. Les images sont impressionnantes et, prises par des webcams branchées en direct sur le réseau Internet. Celles-ci ne sont donc aucunement modifiées.

Photo tirées d’extraits d’un film montrant la chute d’un objet dans le Popocateptl.
OVNI au-dessus du Popocatepetl (2013).

D’autres volcans mexicains sont aussi concernés, comme le Iztaccihuatl, le Colima et le pic d’Orizaba. Bien que leurs images soient moins nombreuses, elles montrent également des photos ou vidéos d’objets insolites.

De l’autre coté de l’Atlantique, en Europe, les volcans siciliens (Vésuve) et italiens (Stromboli, Etna) cristallisent l’intérêt des ufologues. L’Etna est, sans conteste, le point d’orgue de ces observations européennes, trônant du haut de ses 3350 mètres. Historiquement, un film de 1944, dans lequel des Américains filment une éruption de l’Etna, montre plusieurs boules insolites. Faut-il les ranger dans la catégorie des « Foo-fighters », boules lumineuses observées par les pilotes, tant chez les pilotes alliés que chez ceux des forces de l’Axe pendant la Seconde Guerre Mondiale ?

Toujours à propos de l’Etna, il faut noter que des traces de pas insolites furent observés par le passé sur son flanc. Ainsi, Le 11 octobre 1970, 6 amis de retour d’une excursion sur l’Etna descendent le cratère lorsqu’ils aperçoivent des traces de pas…géants : chaque empreinte est longue d’1,50 m et profonde de 15 cm, avec un certain espacement. Les traces de pas montrent 3 orteils.

  • La première hypothèse qu’ils font est qu’il s’agit de traces pour un tournage de film de SF ou mythologique. Mais ce n’était pas le cas ;
  •  Deuxième hypothèse : ils pensent à une mauvaise blague mais ils ne trouvent pas trace de pied humain qui aurait pu laisser ces traces géantes et, de plus, personne ne passe à cet endroit.

Des photos sont faites le 11 octobre, et également 20 jours plus tard, lorsqu’ils repassent, le 1er novembre. Les traces sont toujours présentes.

Selon un lecteur italien du Giornale dei Misteri (1971), à chaque fois que l’Etna entre en activité, ou quelques mois plus tôt, les habitants de la région observent la nuit des objets étranges dans le ciel

C’est aussi sur les flancs de l’Etna qu’un douanier italien, du nom d’Eugenio Siragusa (1919-2006) fit une rencontre avec des extraterrestres, le 30 avril 1962.

Ce n’est pas la première fois pour une observation, mais la première pour une abduction à bord de l’OVNI, aperçu sur l’ETNA.

Entre le 25 mars 1952, date de sa première observation, et 1962, Eugenio Siragusa, un douanier sicilien, recevra des messages de ses visiteurs. Mais c’est la rencontre de deux E.T. sur les flancs de l’Etna qui va déclencher sa « mission d’information auprès de l’humanité ». Ce cas reste controversé dans le monde des abductés mais est étroitement lié à l’Etna et à l’Italie.

Enfin, notons également que c’est par l’Etna que les héros verniens de Voyage au centre de la terre ressortiront à l’air libre…

Le Japon est une autre terre volcanique dont le volcan le plus emblématique est le mont Fuji ; et il est loin d’être le seul volcan concerné…

Le mont Fuji se situe au centre de l’île principale de Honshu de l’archipel nippon, culminant à 3776 mètres de haut. De nombreuses observations sont effectuées au-dessus ou aux alentours du mont Fuji.

OVNI au-dessus du mont Fuji (photo tiré d’un film pris à bord d’un avion survolant le volcan).

Encore plus intéressant est le Sakurajima, volcan situé au sud de l’île de Kyushu et situé à… 50 km d’un réacteur nucléaire (la centrale de Sendai). Ceux qui connaissent bien le dossier OVNI savent l’intérêt particulier représenté par le nucléaire pour le phénomène. De nombreux sites militaires et de centrales nucléaires sont surveillés à travers le monde par ces mystérieux visiteurs. Le Sakurajima étant presque toujours en éruption, les résidents autour du Sakurajima s’inquiète d’un effet sur la centrale nucléaire ; surtout depuis l’accident arrivé à la centrale de Fukushima en 2011.

Revenons sur le continent nord-américain avec un autre volcan très concerné par les observations d’OVNIs : le mont Shasta. Celui-ci est situé dans l’état de Californie, au nord de celui-ci (alors que la ville de Los Angeles se trouve au sud de l’état) et dénommé mont Sisson jusqu’en 1922. Le mont Shasta est constitué de 4 cônes volcaniques et culmine à 4317 mètres.

C’est dès 1931 qu’une première observation historique est constatée autour du mont Shasta, sous forme de « bateau volant ». Une deuxième aura lieu le 22 mai 1932 où le Los Angeles Time signalera d’étranges phénomènes lumineux au-dessus du mont Shasta. Par la suite, Le 24 octobre 1955, le résident W.A. Barr et sa femme observent une lumière brillante au-dessus du mont, autour de 20 heures.

A l’automne 1963, un policier désirant rester anonyme, ainsi que son collègue, observent des lumières sur le mont Eddy, qui se trouve à l’ouest du mont Shasta, qui se révèlent être des disques dotés d’une coupole. Quelques années plus tard, fin des années 1960, le même policier observera une nouvelle fois un engin en forme de soucoupe, de manière plus rapprochée, entourée d’une lumière bleue brillante. Il l’observe dans la ville du mont Shasta et il disparaitra en direction du volcan. De nombreuses observations auront lieu par la suite.

Des témoignages récurrents feront aussi mention d’observation d’êtres humanoïdes. Ainsi, Raymond Keller est un professeur d’histoire maintenant retraité qui fait des recherches ufologiques depuis 1967 et a créé une association en 1986 : la « Outer Space International Research and Investigations Society » (OSIRIS) ou « Société Internationale de Recherche et d’Investigation sur l’Outre Espace ». Il est l’auteur de 3 livres sur le sujet et il fait de nombreuses enquêtes sur des lieux d’apparitions d’OVNIs. Alors qu’avec un groupe ils gravissaient le mont Shasta, ils ont vu une femme se matérialiser. Elle portait une combinaison blanche et des cheveux rouges et Raymond Keller affirme qu’ils auraient parlé avec elle. Une photo aurait été prise d’elle mais elle n’était pas visible sur la pellicule photo au développement…

Raymond Keller.

Le mont Shasta est-il un volcan habité ? Est-ce la seule zone ou d’autres régions du globe ont-elles les mêmes « mythes »?

  •  En Indonésie, les habitants de la zone autour du volcan Mérapi font état de « dieux » qui habiteraient dans une ville entière à l’intérieur du volcan.
  • A Hawaii, le volcan Kilauea abrite Pelé, déesse de la foudre et du feu descendue du ciel et des nuages.
  • Dans la mythologie grecque, Héphaïstos, dieu forgeron, habite dans un volcan en compagnie des cyclopes.

Par ailleurs, d’autres volcans à travers le monde sont aussi concernés par des observations d’OVNIs. Citons particulièrement :

  •  Volcan Calbuco (Chili),
  •  Volcan San Miguel (Salvador),
  •  Volcans Huascaran et Ubinas (Cordillère des Andes, Pérou),
  •  Volcans Barva, Costa Arenal, Irazu , San Carlos, Turrialba et Zurqui (Costa Rica),
  •  Volcan Montagne Pelée (Martinique),
  •  Volcan Katla (Islande).

Le mont Shasta, comme les autres volcans mentionnés plus haut, est aussi concerné, par l’observation d’une curiosité naturelle, surnommée par certains « alien clouds » (les nuages extraterrestres). Ces nuages lenticulaires ont la particularité d’affecter la forme discoïdale, que certains debunkers pensent être à l’origine de confusion avec des OVNIs, et de stationner au-dessus des cônes volcaniques. Accusés par certains de dissimuler des OVNIs, ils constituent pour l’amateur de très belles photos…

Enfin, signalons qu’un auteur très populaire a lié volcans et OVNI : il s’agit d’Hergé, le créateur de Tintin. Georges Rémi, dit Hergé (1907-1983), publiera pas moins de 23 albums consacrés à son personnage, sans compter l’album resté inachevé à son décès (Tintin et l’Alph-art). L’un de ces albums nous intéresse tout particulièrement ici. Dans Vol 714 pour Sydney (1968), Tintin et ses amis prennent l’avion pour Sydney et font escale à Jakarta. Là, par une connaissance commune, ils sont emmenés dans le jet privé du milliardaire Laszlo Carreidas. L’avion est détourné et ils atterrissent sur une île de l’océan indien de laquelle ils vont tenter d’échapper au piège de Rastapopoulos et ses alliés.

Ils seront aidés par un mystérieux personnage, Mik Ezdanitoff (dont les traits seront calqués sur ceux de Jacques Bergier), qui les fera partir dans le « char de feu » de ses amis extraterrestres. Sous hypnoses, ils ne souviendront de rien de leur aventure ; à part peut-être Tournesol car l’artefact qu’il a trouvé dans le temple souterrain est constitué d’un métal non-terrestre… (voir lien vers l’article sur cet album en fin d’article).

Tintin, volcans et extraterrestres…le tout dans cet album.

Quelles sont les hypothèses que nous pouvons faire concernant ce type de volcans concernés par les visites d’OVNIs ?

Comme nous l’avons vu, il y a différents types de comportement à proximité des OVNIs : entrée à l’intérieur du volcan, sortie du volcan, parfois entrée et/ou sortie dans les flancs du volcan (à travers la paroi de pierre), et survol du volcan.

Ces différents types de comportement pourraient traduire des missions différentes.

Ainsi, le fait d’entrer ou de sortir des volcans pourraient suggérer l’hypothèse que ces engins possèdent une base sous terre ou dans les couloirs de lave de ces volcans (nous reviendrons plus loin sur les couloirs magmatiques). A l’abri de toute présence humaine terrestre, les êtres derrière ces engins pourraient posséder des bases de repli ou des installations permanentes.

De même, dans un esprit similaire, peut-on s’interroger sur une éventuelle manifestation d’une civilisation de type intraterrestre ? Celle-ci vivraient loin des humains à la surface, et ils posséderaient une technologie avancée pour entrer, naviguer et sortir des couloirs souterrains, y compris dans la lave volcanique.

Une autre hypothèse serait que les êtres derrière le phénomène OVNI soient intéressés par certains minerais. Le chercheur Luc Cotté a mis en avant dans son livre, La piste du fer, que les OVNIs pourraient s’intéresser au minerai de fer, pouvant servir à la production d’énergie ou bien à la conception de leurs engins. Une hypothèse dérivée montre que certains volcans rejettent des minerais comme l’or ou l’argent. Concernant l’or liquide, une étude du journal Geothermics de 2015 a mis en avant la présence de métaux à l’état liquide sous terre.  Ainsi, des géologues creusant dans la zone volcanique du Taupo, un volcan néo-zélandais, ont trouvé d’énormes réservoirs souterrains contenant de précieux métaux. Sur les 18 cavités trouvées, Stuart Simmons, géologue de l’université de l’Utah (USA) donne l’estimation suivante :

  • Des dizaines de milliers d’onces d’or (une once valant 31,104 g, soit un prix entre 532 et 1598 euros, en fonction du carat),
  • Des centaines de milliers d’onces d’argent (une once valant 31,104 g, soit un prix d’environ 19 euros).

Comment ça marche ?

L’activité volcanique du Taupo crée une chaleur intense et une eau acide en ébullition qui grignote les rebords du cratère et de la pierre aux alentours. Cet acide permet de faire ressortir les minerais d’or, d’argent et d’autres métaux dans les réservoirs d’eau aux alentours. Mais, des OVNIs sont-ils, pour autant, observés autour de ce volcan ? La réponse est non !

Des scientifiques et certains ufologues ou chercheurs se sont interrogés sur le lien existant entre les séismes et l’observation de mystérieuses lueurs (avant, pendant et après le séisme).

Les séismes naissent de la friction de deux plaques continentales se chevauchant et qui libèreraient du gaz qui s’enflammerait et provoquerait des lueurs, flammes, foudre en boule, halos ou flashes lumineux, qui durent de quelques secondes à quelques minutes.

Une autre explication, plus en vigueur aujourd’hui, est celle de minerais aux propriétés piézo-électriques pouvant libérer une très haute tension électrique, lorsque la pression varie lors d’un séisme, et qui ioniserait l’atmosphère. Cette théorie est récente et a été confirmée par les observations et photos consécutives aux séismes de Matsushiro, à Nagano (Japon), entre 1965 et 1967.

Fernand Lagarde, ufologue et enquêteur pour Lumière dans la nuit (LDLN), a proposé une théorie liant les observations d’OVNIs aux séismes, failles tectoniques et éruptions volcaniques (cf. son livre Mystérieuses soucoupes volantes).

Dans Demain l’Apocalypse, l’ufologue et romancier Jimmy Guieu utilise cette théorie comme trame de son roman. Lors d’une conférence ufologique, de nombreux scientifiques concernés par les sciences de la terre, et faisant partie du « Collège Invisible », disparaissent. L’enquête mettra en évidence une surveillance de civilisations d’outre-espace sur nos activités sismiques… Un des bons romans à lire de cet auteur !

Roman de 1969, réédité en 1983.

Marc Hallet (Lueurs géophysiques) travailla aussi sur cette théorie Pour autant, cette théorie explique-t-elle tout ? Ne faudrait-il pas inverser les choses et se demander si des OVNIs ne sont pas observés AVANT des séismes pour mieux les observer ou avoir une action dessus ?

D’autres hypothèses semblent plus fantastiques.

Ainsi, dans le numéro 5 du magazine Génération Cités d’Or, l’auteur Peter Knight explore la théorie de portails cosmiques :

« Il y a de nombreuses années, une de mes connaissances a été contactée par des pilotes de disques volants qui lui ont révélé utiliser la puissance des volcans pour se déplacer de planète à planète ; ils lui ont expliqué que ces volcans créent des couloirs d’énergie permettant de se déplacer à travers l’espace d’un volcan à un autre. Cette information m’a fait comprendre que le cosmotellurisme des grands cratères est domestiqué par ces pilotes et ouvre des vortex dimensionnels. »

Le fait que les OVNIs survolent souvent les cratères des volcans, passant parfois à travers les émanations de fumées ou les éruptions de lave sans qu’ils en soient affectés, pourraient nous amener sur la piste d’une autre théorie. Et si les OVNIs observés à proximité des volcans étaient là pour surveiller leur activité sismique ? En effet, nos géophysiciens possèdent des détecteurs de secousses sismiques et installent des webcams ou caméras autour d’un grand nombre de volcans, notamment les plus à risque, afin de surveiller leur évolution. Peut-on penser que des civilisations avancées étrangères parmi nous surveillent nos volcans pour détecter une éruption particulièrement dangereuse ?

Voyons ce qu’en dit la chercheuse américaine Dolores Cannon. Celle-ci a soumis sous hypnose régressive un certain nombre d’abductés américains afin de recueillir des informations sur les êtres et les civilisations en contact avec nous. Voici ce qu’elle en dit sur le sujet, dans son livre The Custodians (1999), sorti en français sous le titre Les gardiens (2018).

Dans cet extrait, Dolores Cannon (D) interroge une abductée sous hypnose : Janice (J), par laquelle s’exprime l’une de ces entités :

J : « Certains diront que dans le cadre de ce programme nous provoquons des séismes, des éruptions volcaniques, différents événements climatiques. Ils essaient de nous en faire porter le blâme. Mais si nous n’intervenons pas, les cataclysmes seraient encore plus graves et la Terre serait détruite en un rien de temps. […]

Nous rectifions l’équilibre de la planète partout où cet équilibre est déficient. Si nous n’étions pas engagés dans cette entreprise, des séismes beaucoup plus effroyables se produiraient en divers points du globe. Voyez cela comme un programme d’entretien ou de maintien qui diminue l’intensité des catastrophes climatiques.

D : Vous ne pourriez pas carrément les empêcher ?

J : Ce serait possible, mais en ce qui concerne notre intervention sur les cataclysmes, il y a, pour le moment, une limite que nous ne pouvons pas franchir. »

Dans la nuit du 10 avril 2020, 15 volcans sont entrés en éruption. Faut-il s’en inquiéter ? Non, dans la mesure où l’activité sismique est courante et que ces volcans sont surveillés par les géophysiciens. Le volcan le plus dangereux de tous est celui du parc Yellowstone, en Californie, étroitement surveillé pour cette raison (cf. le film Prédictions, d’Alex Proyas, au centre de cette histoire).

A noter que des tubes de lave sur la Lune sont étudiés afin de permettre une installation temporaire de base, en attendant l’installation de bases montées sur le sol lunaire, tel que rapporté par Jim Green, scientifique en chef de la NASA (groupe d’étude RETH). Se pourrait-il que d’autres intelligences utilisent les couloirs de lave terrestres pour se dissimuler à nos yeux ?

Tube de lave (Hawaii).

Pour conclure, l’observation d’OVNIs à proximité des volcans est indéniable lorsque l’on étudie l’ensemble du matériel collecté (témoignages d’observations, photos, vidéos, notamment les webcams automatiques installées autour de certains volcans). Il est logique de penser que nos volcans sont sous surveillance, à l’instar de nos centrales nucléaires et nos installations militaires, en raison de leur dangerosité. Est-ce pour éviter un nouveau Pompéi, voire un hiver nucléaire ? L’hypothèse de la « géoingénierie » pour nous protéger d’un risque majeur semble proprement fantastique mais collerait à la logique de ces êtres, selon les messages rapportés par les abductés.

Plus raisonnablement, il est possible de penser que certains volcans servent de refuge ou de sas d’entrée vers des cavités terrestres (tubes de lave, grottes), à l’abri de la curiosité humaine…

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Stéphane Royer

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Sources :

Le site Live Cam Popocatepetl retransmet en temps réel les images du volcan Popocatepetl, avec parfois des observations d’OVNIs. On en trouvera de nombreuses vidéos en faisant une recherche via Youtube ou un moteur de recherche. De même pour les autres volcans mexicains ou cités dans cet article :

Liste des volcans placés sous Webcam :

https://pgj.pagesperso-orange.fr/volcans/volcan.htm (certains liens peuvent ne plus exister)

Concernant l’article sur l’album de Tintin :

LIVRES et magazines :

Mystérieuses soucoupes volantes, de Fernand Lagarde, Aimé Michel et Jacques Vallée, éditions Albatros.

Demain l’Apocalypse, Jimmy Guieu, chez Plon (réédité chez Vaugirard).

Les Gardiens, Dolores Cannon, éditions Ariane.

Le code Adamski, de l’énergie libre à la métahumanité, de Peter Knight, magazine Génération Cités d’Or n°5 (été 2020), à commander sur le site du magazine https://www.generationcitesdor.com/

Lueurs géophysiques, Marc Hallet (fascicule que l’on peut trouver sur Internet).

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