Abidjan – Rencontre Insolites par Jean Claude Sadia

Jean Claude Sadia dirige les Repas Ufologiques d’Abidjan en Côte d’Ivoire. Il a eu l’occasion au cours de ces derniers mois d’être confronté à des histoires des plus insolites, comme on en trouve beaucoup en Afrique Noire. Il a pris le temps de nous les faire connaître, en les relatant par écrit dans le présent article.

La belle dame aux longs cheveux

L’histoire que je vais vous raconter date de plus de quarante huit ans et s’est déroulée dans un petit village dénommé Bakro qui lui est situé dans la région d’Aboisso. Le témoin, Pauline (appelons la ainsi) l’a vécu lorsqu’elle avait entre onze et treize ans. Pour tout dire, elle est née vers mille neuf cent cinquante. Au cours de cette période, Pauline recevait des visites régulières d’un être très étrange.

En effet, un jour, très tard dans la nuit, pendant que tout le monde dormait profondément, elle remarqua la présence d’une dame au niveau de la porte. Évidemment, elle fut prise de frayeur mais elle ne fit aucun geste, aucun mouvement qui aurait pu trahir son état d’éveil. C’est alors qu’elle remarqua avec terreur que la bonne dame la fixait à travers la pénombre. Mais très vite, cette réaction craintive s’édulcora à cause de l’aspect de sa visiteuse.

C’était une femme d’une beauté frappante aux longs cheveux bruns et qui ne faisait rien d’autre que regarder Pauline d’un air engageant et quelques minutes après, elle s’en allait.

La visite se répéta plusieurs fois jusqu’au jour où au cours d’une causerie familiale, elle raconta l’événement à la maisonnée. Ses parents furent scandalisés du fait qu’elle n’eût pas avoué cela auparavant. On lui signifia qu’à la longue, la belle dame l’aurait emmené avec elle. On procéda à une cérémonie de lavage de ses yeux avec des feuilles spéciales issues de la forêt et depuis ce jour, elle ne vit plus aucune femme.

Cependant, l’histoire ne s’arrête pas là. En effet, après quelques années, après que ce témoignage ait été porté à ma connaissance par le témoin, environ huit ans après(en deux mille six), l’un de ses fils me fait une révélation étonnante.

Son fils, appelons-le Jacob, est né en mille neuf cent soixante onze et affirme que lorsqu’il avait sept ou huit ans, il recevait très régulièrement la visite d’une femme tard dans la nuit au moment où tout le monde dormais. D’après la description faite, il se trouve que sa visiteuse à lui, ressemble trait pour trait à celle de sa mère, mis à part un léger détail : elle avait quelques mèches de cheveux blancs.

Alors j’ai été voir la mère et je lui ai rapporté le récit de son fils. Elle a été surprise et elle a trouvé qu’il n’avait pas été malin de la part de son fils, d’avoir gardé cette histoire pour lui.

L’étrange fantôme

L’année 1988 aura été une année de haute frayeur pour mon frère et moi. A cette époque, j’avais dix ans et mon frère en avait treize. Il faut noter que nous habitions un appartement de six pièces qu’on peut diviser en trois blocs : Le salon, le bloc des parents et enfin celui des enfants.

Les filles avaient leurs chambres et nous avions la nôtre. Nous vivions à l’intérieur du pays, dans un village appelé Frambo dans la région administrée par la sous-préfecture d’Adiaké.

A cet âge, mon frère et moi avions l’habitude de rentrer tardivement les nuits (au-delà de 22heures). Généralement, nous jouions avec nos amis en caserne car nos parents étaient des douaniers et nous ne voyions pas le temps passer (En ce qui me concerne, j’allais souvent à des séances de projections vidéo lorsque je ne jouais pas).

Notre maison, située sur une colline, d’après ce qu’on nous avait dit, était sur le site d’un ancien cimetière (elle était en dehors de la caserne). Elle était aussi isolée et nous avions une vue panoramique sur le village.

Il y avait deux lits : un de trois places et un lit superposé de deux niveaux. J’occupais le niveau supérieur et mon frère le bas.

Un soir, alors que nous dormions mon frère et moi, au milieu de la nuit, mon frère poussa un cri effroyable. Sans rien comprendre, je crois que nous nous sommes retrouvés presque simultanément dehors. Nos parents furent ameutés et mon père vint avec un revolver et un outil qui tenait à la fois de marteau, de fourche et d’hache. Il avançait avec prudence et essayait d’entrer dans la chambre après un briefing rapide qui lui a permis de s’imprégner de la situation. Ma mère banalisant ce que nous venions de vivre, elle entra dans la pièce avec désinvolture. Il n’y avait rien ni personne. « Les enfants ont rêvé » lâcha-t-elle encore après son constat.

Nous n’avons pas dormi dans cette chambre durant plus d’un mois, jusqu’à ce que nos frères aînés reviennent en congés. Après leur départ nous n’éprouvions aucune crainte, nous en rigolions même souvent.

Qu’a-t-il vu ?

Mon frère raconte que pendant notre sommeil, un homme habillé bizarrement s’approcha du lit superposé, s’avança pour me regarder pendant quelque secondes puis s’abaissa pour se diriger vers lui. C’est alors qu’il poussa son cri dément. L’être qu’il vit, avait selon lui des lumières qui clignotaient au niveau de sa tête, sinon de son visage. Je me rappelle que je trouvais bizarre à l’époque qu’un fantôme (nous pensions à un fantôme) ait des lumières sur la tête ou sur le visage. Ce n’était pas l’idée que je me faisais d’un fantôme, je trouvais que les lumières étaient électroniques. C’est pourquoi à ce moment là je croyais qu’il avait réellement vu quelque chose.

La boule scintillante

Huberson et Alain son jumeaux et tous deux de niveau maîtrise au moment où ils m’ont rendu le témoignage.

Un jour alors qu’ils rentraient de voyage avec leur père expert comptable, un événement surprenant les laissa sans voix. L’événement se déroule entre 18h30 et 19h30.

Les trois personnes sont originaires d’Alépé ville périphérique d’Abidjan et rentraient après un retour aux sources.

L’incident intervient à la descente d’une colline quand le moteur de leur voiture s’arrête brusquement laissant celle-ci immobile contre toute attente. C’est à ce moment précis que sortant des buissons, une boule métallique dorée flottant dans les airs, à environ 80 centimètres du sol, traversa la voie. La traversée ne fut pas rapide ce qui les laissa un temps d’observation d’une minute environ. Après ce temps interminable pour eux (car pensant être en face d’un génie), la boule disparue dans la brousse. Aussitôt le véhicule se remit en marche tout seul. Inutile de dire qu’ils ont filé en vitesse.

Porté disparu

Karamoko Amidou est un Ivoirien de 35 ans. Menuisier de formation, il exerce son activité à Bamako au Mali où il réside. A l’âge de 4 ans il fut enlevé par des inconnus à proximité d’une forêt.

En effet, la famille Karamoko exerçait son activité champêtre au pied d’une Colline pourvue de végétation. Là, une cabane était dressée pour servir de lieu de repos.

Un jour, le père Karamoko pourchassait son fils pour une sanction corporelle à son endroit. Ce dernier (Amidou) pris la fuite et trouva refuge au pied de la Colline. Peu de temps après l’on ne vit plus Amidou à l’endroit où il s‘était arrêté. Toute la famille se mit à le chercher mais en vain.

Ce n’est qu’après trois (3) jours qu’Amidou s’est rendu seul à la cabane à la grande stupéfaction des parents. Lorsqu’on lui demanda où s’était-il caché, il répondit qu’il était là avec des amis très gentils qui lui donnaient tout y compris des jouets tout en lui demandant de ne pas répondre à l’appel de ses parents qui le recherchaient.

Pour les décrire, il soutient que ce sont des personnes de petite taille avec de longs cheveux bruns. Et ils venaient de l’accompagner. A cet instant, il disait qu’il les voyait toujours s’éloigner pour partir, mais les parents qui regardèrent partout, ne virent personne.

Marie dans le ciel

Le sanctuaire marial se souviendra longtemps du 15 août 2006. Situé dans la commune d’Attécoubé (commune d’Abidjan) à la cité Fermond, ce sanctuaire draine beaucoup de monde à la fête de l’assomption. C’est ainsi que le 15 août 2006 après la veillée relative à cet événement, au moment où le peuple rentrait chez lui, vers dix heures (10 h 00), des cris d’émoi ameutaient Franck qui est un fidèle catholique d’une vingtaine d’année actuellement. Alors, il monta les gradins du sanctuaire pour mieux voir ce que tout le monde semblait regarder dans le ciel. Il vit du côté du soleil, un buste de marie avec des rayons tout autour. Il signale que l’apparition ressemblait aux représentations de Marie que l’on trouve sur les cartes de vœux, une image en 2D. L’observation dura moins d’une minute ; le buste disparaissant en premier et les rayons ensuite.

Marie à domicile

Lucie (pseudo), a l’habitude de prier devant sa petite grotte à la maison comme la plupart des chrétiens catholiques d’ici. Chaque jour, elle s’y recueille avant de vaquer à ses occupations. Elle réside au Plateau-Dokoui dans la commune de Cocody à droite de l’église catholique Sainte Monique, non loin des vendeurs de carreaux.

En juin 2011, un matin à son réveil et à sa grande surprise, elle découvre l’image de la vierge devant la grotte et sur un tissu blanc sur lequel elle avait disposé les bougies comme il est d’usage.

L’image dura quatre jours, durée au cours de laquelle de nombreuses personnes purent l’observer. Le témoin Marie Claude à qui nous devons ce récit, l’a elle-même observé le quatrième jour à quinze heures (15h00).

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