Huy – CR du 14 Juillet 2012

Compte-rendu, repas ufologique de Huy

Le repas ufologique de Huy s’est tenu le 14 juillet dès 12h00. Ce fut l’occasion de découvrir quelques thèmes intéressant.

Gaetan, président du REUB et du repas ufologique de Huy. Nous à parler des différentes observations ayant eu lieu dans la région de Huy pendant la Vague Belge d’ovni 1989/1992, et ce que l’on à appelé le fameux carrousel du 12 mars 1991. Avant la soirée décisive du 12 mars 91, les observations avait ralenti et la SOBEPS ne recevait plus autant d’appels téléphonique comme ce fut le cas au début de la Vague. Le 12 mars 1991 à cependant relancé la vague, car cette soirée du 12 mars impliqua des dizaines voir des centaines de témoins sur un petit secteur s’étalant de Huy à Marchin, Andenne et Vierset-Barse.

Un autre thème intéressant fut évoquer lors de ce repas. Jonathan Derudder qui est lui même enquêteur au REUB, nous parla des ovnis nazis. hypothèses selon lesquelles la SS avait un programme très avancé en matière d’armes exotiques, non conventionnelles et en matière de disques volants. Car une des principales conséquences des recherches nazies serait que les Américains (ainsi que les Soviétiques) auraient pu bénéficier par le biais de l’opération Paperclip du fruit de ces recherches. Et, toujours selon certains enquêteurs comme Nick Cook, la majorité des « Skunk Projects », des projets secrets de l’Air Force par exemple en matière de furtivité, de propulsion MHD ou d’antigravitation (si ceux-ci existent) seraient les « descendants » des premiers projets allemands

Ce fut aussi l’occasion de découvrir certains principes de fonctionnement des ovnis.

Par exemple la MagnétoHydroDynamique

La MagnétoHydroDynamique est une méthode de propulsion encore considérée comme expérimentale, fondée sur les travaux de l’anglais Michael Faraday.

Le principe de la MHD, non envisageable dans le vide, consiste à faire circuler dans le milieu entourant le mobile un courant électrique. Le mobile, en même temps, va émettre un champ magnétique. Selon la loi de Laplace, ce champ va exercer une force sur le courant, et donc sur le milieu où il circule : c’est le principe de la plupart des moteurs électriques. Le milieu étant ainsi déplacé par rapport au mobile, c’est en fait celui-ci qui, par réaction, subira une force permettant de le propulser. Encore faut-il faire apparaître les champ et courant nécessaires : pour le champ magnétique on y parvient facilement en installant dans ou sous les parois du mobile des bobinages (comme ceux des moteurs électriques) parcourus par un courant électrique approprié.

pour le courant électrique, tout dépend du milieu : dans l’eau de mer, il est facile de faire circuler un courant au moyen d’électrodes posées sur l’enveloppe du mobile. C’est pourquoi la propulsion MHD a été expérimentée, pour l’instant avec succès, aux États-Unis et au Japon, sur des maquettes de navires, aussi bien de surface que de sous-marins. Dans l’air, naturellement isolant, il est plus difficile de faire passer un courant électrique, mais on sait rendre l’air conducteur au moyen, par exemple, de champs électriques puissants engendrés, là encore, par des électrodes appropriées (l’air, rendu conducteur, peut devenir plus ou moins lumineux, ce que l’on a fréquemment observé autour des objets inconnus). Quant au champ magnétique, il peut être créé comme pour les bateaux. Cependant, dans l’air, la propulsion est beaucoup plus difficile à obtenir, puisqu’elle doit non seulement propulser le mobile, mais d’abord compenser son poids. Les champs électriques et magnétiques requis sont donc beaucoup plus intenses que pour un navire et, en pratique, il n’est guère envisageable d’obtenir les champs très intenses sans avoir recours à des bobinages supraconducteurs. Encore théoriques jusqu’à il y a quelques années, leur mise en œuvre dans un véhicule aérien est, depuis 1991, une perspective crédible, avec la découverte de supraconducteurs capables de fonctionner à des températures proches de l’ambiante.

La propulsion dans l’atmosphère, sans hélices ou réacteurs, est donc en principe tout à fait possible par MHD, et le calcul montre que la puissance nécessaire n’est, dans certains cas, pas incompatible avec nos moteurs aéronautiques actuels Les premiers travaux sur la propulsion MHD, avec ionisation d’un gaz, datent de l’immédiat après-guerre et ont sans doute été envisagés sommairement avant 1939.

Le prochain repas ufologique de Huy se tiendra le 2ème samedi d’aout à partir de 12h00, découvrez le programme très prochainement sur le site internet du Reub ou sur le site des repas ufologiques.

Vive remerciements aux participants et à Jonathan et Pascal.

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